Wrestling School - Leçon 2 - Signatures et Finitions

/ Article - écrit par Canette Ultra, le 07/05/2010

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Nous continuons notre exploration du monde du catch et de ses mystères. Ce genre de chemin est vaste et aujourd'hui, nous allons nous arrêter sur un aspect fondamental du catch. Les finishers et les signatures moves. Ces mouvements renversent le cours d'un match, ils mettent le feu aux poudres. Mais que sont-ils exactement ?

Les femmes aussi : Chick Kick de Trish Stratus !
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Le spectacle que représente le catch est une flamme qui doit être entretenue. Les combattants doivent trouver le moyen d'exciter leur public tout en trouvant des mouvements qui deviendront des œuvres d'art entre leurs mains. Dans tout sport, les plus grands ont tous leurs spécialités. Que ce soit en basket, en foot ou en boxe, nous retrouvons toujours un athlète qui a une efficacité redoutable avec certaines techniques. Pour le catch, c'est la même chose. Certains mouvements vont devenir la spécialité de certains catcheurs. Si ces mouvements peuvent parfois être unique, d'autre ne sont que l'expression plus efficace d'une prise « classique ».

John Cena corrige les attitudes !
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Le signature move est un mouvement récurrent du catcheur. Il l'utilise souvent pour enflammer le public et il est une excellente préparation à la victoire finale. Les mouvements de ce type portent même parfois un nom personnalisé à l'image du catcheur. Ces mouvements peuvent devenir ou avoir été une prise de finition (finisher). Ainsi, Le « Lionsault » de Jéricho est l'un de ses mouvements fétiches. Dans les faits, c'est un back flip avec appuie sur les cordes mais entre les mains de Y2J, l'impact est plus important. De même le « Triangle Drop Kick » fait partie de son répertoire.

Sweet Shin Music par le maître en personne.
Sweet Shin Music par le maître en personne.
Le finisher ou prise de finition est l'arme ultime du catcheur. La probabilité de gagner le match est forte sur ce type de mouvement. Le public d'ailleurs ne s'y trompe pas puisqu'il se lève pour assister à la fin du spectacle quand ce mouvement se déclenche. Ce coup est terriblement puissant mais il peut se faire contrer puissamment. On se rappelle, le « Sweet Shin Music » de Shawn Michaels qui malgré son impact a été régulièrement esquivé ou contré. De même, si un catcheur se relève après avoir subi un finisher, le doute s'installe dans l'esprit de celui qui a délivré la prise. Les matchs parfois se finissent à coups d'esquive et de retournement pour que l'un des deux réussissent SA prise. Ce finisher porte la majorité du temps un nom spécifique, un nom qui décrit l'univers du combattant. Le Batista Bomb de Batista, l'Attitude Adjustement de Cena (anciennement F-U) ou le Tombstone Piledriver sont les autres noms du Powerbomb ou du Fireman Carry vers un Slam ou encore du piledriver. Il y a néanmoins quelques exemptions comme le Running Guillotine Leg Drop de Hogan ou Figure 4 Leg Lock de Flair.

Par conséquent, un catcheur doit tout mettre en place pour dès que possible placer ses meilleures prises et finir le match avec panache grâce à son finisher.