10 explications (scientifiques ?) qui démontrent que Big Bang Theory s'essouffle
Séries & TV / Critique - écrit par Guillaume, le 22/03/2011
The Big Bang Theory poursuit tranquillement son petit bonhomme de chemin avec sa quatrième saison. Dès le départ, nous reconnaissions l'intérêt certain de la série, tout en émettant quelques doutes. Si les deux premières saisons, voire même la troisième, pouvaient se regarder avec un certain plaisir, il faut bien avouer que cette quatrième saison a bien du mal à nous emporter au septième ciel du rire.
Que s'est-il passé ?
Nous avons décidé de faire appel à notre équipe de brillants scientifiques (un BAC S, ça compte non ?), pour déterminer dix raisons expliquant que The Big Bang Theory s'essouffle.
DR.La romance à l'eau de rose est omniprésente. Avant, il n'y avait que Penny qui apportait le lot de niaiseries romantiques. Maintenant, même les autres compères s'y mettent. Autant dire que c'est vu et revu, et sans intérêt.- Sheldon a grossi. Aha. Celle-là est facile. Et pas tellement vraie. Mais le pauvre est devenu un stéréotype de lui-même. Il n'est plus juste le nerd ultime, c'est aussi le sociopathe par excellence.
- Confusion entre la mode geek et la mode des années 80. Plus ça va, plus les vêtemens sont flashys et de mauvais goûts. Pas des vêtements de geeks ça ! Plutôt le retour vers le passé...
- Leonard est devenu un dieu : il sort avec tout ce qui bouge. Pas croyable !
- Sheldon a une petite amie. Certes, Amy Farrah Fowler est barrée, comme lui, mais il faudrait éviter de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
- L'introduction de nouveaux personnages encore plus stéréotypés que les anciens. Il n'y a qu'à voir le personnage du petit ami de Penny pour s'en convaincre.
- Panne sèche sur l'aspect geek. On dirait que tout a été dit dans les précédentes saisons. Les intrigues ne sont plus que rarement basées sur les sciences.
- L'introduction massive de nouveaux personnages. Trop de personnages tuent les personnages.
- Penny devient presque un second rôle. On se demande si on doit s'en réjouir. La réponse est non puisqu'elle s'efface au profit d'autres rôles faiblards.
- La répétition, toujours la répétition.