Ce que vous n'auriez pas dû regarder à la TV, la semaine dernière !

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On ne change pas une équipe qui gagne, cette semaine la TV m’a encore permis de voir, d’entendre, et d’imaginer le pire.

Je pourrais vous parler de Mariages : Ces couples qui ne font pas comme les autres, ou de Demain je me marie, mais je crains de contrarier mon adorable belle-mère. Alors je vais vite passer à la thématique de la fin de semaine : la danse !

DR.Parce que j’ai la lourde et déprimante tâche de vous annoncer le lancement de Danse avec les stars le samedi sur TF1 venant  compléter la très mauvaise série Un, dos, tres diffusée depuis deux semaines sur M6 . Et quand je dis diffuser je veux dire rediffuser, car il s’agit de la saison 1, ce qui veut dire que l’on va sans doute se taper ça pendant un très très long moment. Il est temps de trouver une activité extra-TV pour le weekend ! Ajoutez à cette activité une bonne grasse mat’ pour éviter Chante ! le matin sur F4. Vous savez la série avec Priscilla, la chanteuse qui a eu son heure de gloire avant ses 13 ans et  qui chantait « Teste-moi, déteste-moi, mais surtout regarde-moi », personnellement, j’ai choisi, et j’ai zappé, comme son public l’avait intelligemment fait à l’époque.  

DR.Mais… Danse avec les stars c’est bien plus que ça, c’est le must du dust, c’est la goutte d’huile qui allume le karcher, c’est Bigard et Manoukian qui entament quelques chorégraphies arthritiques dans les bras de morceaux de viande en jupes courtes et décolletés remplis. C’est Adriana qui prouve qu’avoir de très longues jambes, des gros nichons et un joli p’tit cul, le tout serré dans un ensemble de lingerie trois fois trop petit,  peut apporter la gloire comme une étrange ressemblance avec un balai. Et pas n’importe quel balai, un balai qui en a presque 40.

C’est avec beaucoup de peine, et de pitié que je m’agenouille devant vous, lecteurs, spectateurs, humains, extraterrestres,  et Bernadette Chirac : Envoyez vos dons à  TF1, et sauvez vos stars détestées de l’humiliation, et vos-nos yeux et oreilles, permettez-leur de prendre leur retraite !

Malgré tout, c’est promis, la semaine prochaine je serais encore là pour remuer le couteau dans la plaie.